Une petite fleur perdu au milieu de toute…

Chapitre 1

J

’étais arrivée dans la nuit sur une terre qui était dominé par One. Je me sentais plus en sécurité avec lui depuis cet accident… Celle-ci s’appelait la Vallée des Fleurs Perdues, un nom qui lui allé très bien en tout cas. L’humidité était tombée j’avais en exclusivité toute les odeurs des fleurs qui se mélanger, c’étais un vrai régale de sentir toute ces odeurs. Mes petits sabots noirs essayés de pas écraser la végétation… J’en prenais soin comme la prunelle de mes yeux. Comment vouloir abîmer cette magnifique terre　? On ne peut pas, j’en suis sur que cette terre plaira au futur maman qui attende un poulain pour mettre bas ici, bien sur avec l’autorisation de One. Moi quand j’aurais un poulain si dieux le veut, je voudrais bien mettre bas ici. Je ne devrais pas pensée au futur car il est si loin encore de moi… Pensons plutôt au présent…

Dans le ciel des étoiles qui danse.
Sur terre des fleurs qui dormes.
Personne, juste moi qui suis encore éveillé…

A

près avoir fais quelque pas, je m’arrêtais en plein milieu de la Vallée. Je pliai mes membres tout doucement pour que mes genoux touches délicatement le sol. Ensuite je me recroquevillai sur moi pour caller ma tête et être a l’aise pour dormir. Mais il me manque quelque chose près de moi… Ma mère… Des larmes me montèrent aux yeux sans que je ne puisse les retenir, elle coulait sur mes joues. Mon petit cœur se serra fortement dans ma poitrine… J’aimerais retrouver mon père, mais je ne sais pas où il a pu partir… Sur ces pensées une énorme vague de sommeil me pris au passage… Mes yeux se fermèrent délicatement, et j’étais parti dans mes rêves avec le cœur si lourd…

Je rêve d’un monde,
Où le bonheur ne fera qu’exister,
Que les rires, et les joies,
Seront toujours présents.
Qu’il n’y a pas de prédateur.
Que nous sommes tous immortel.
Que le temps est toujours ensoleillé.
Je désir tellement de chose…
Malheureusement sa n’existe que dans les rêves.
Et un rêve ne se réalise pas tout le temps.

L

es rayons du soleil, chatouilla ma peau alezane, et mes petits yeux fermer. J’ouvre l’œil droit en premier. Mais la lumière était tellement forte qu’elle m’avait aveuglée. Je le referma de suite, puis j’essaye le deuxième. Le même effet se fit pour le second… Finalement j’ouvrai tout doucement les paupières pour habituer à mes prunelles de la lumière. Effectivement sa marcher cette méthode. Je voyais un peu flou a ce moment la. Je remarquais qu’au loin, il y avait au milieu de c’est fleur une silhouette équine. Je ne serais vous dire qui est ce　? Une jument　? Un étalon　? Un poulain　? Même un prédateur　? C’était encore flou pour moi, j’avoue que c’est le matin… Donc bon, c’est tout a fais normal qu’on ne voit pas trop bien, car on était dans les vapes…

[ Je peux ? Il y'a peu de monde dans ces terres dominées , à moins que chapitre un est un sens particulier.]

La nuit avait été terrible. Terriblement insomniaque, désagréablement épuisante. Et pourtant, j'avais choisis mon endroit préféré sur F-H. Je m'étais confortablement installé entre les fleurs, avait fermer les yeux... Plusieurs fois. Rien n'y avait fait. Le sommeil n'était pas venu, et le parfum entêtant des fleurs n'y avait, hélas, rien fait.

Je me traînais donc, l'air sombre, parmis les mêmes fleurs, savourant bien malgré moi le lieu et sa sympathique fraîcheur. La plaine était longue et large, plate, recouverte d'inombrables fleurs. C'était véritablement la pépinière, le coin floral à en pas manquer, l'attraction de Fantasy Horse. Et c'était aussi ma fierté. Bénie soit cette jument qui avait mis bas, je l'aurais bien embrasser sur le coup.

Au loin, je vis une petite forme brune couchée au milieu d'un banc d'oeillet. Surpris, je haussais un sourcil intrrogateur. Le premier inconnu qui entrait dans mes terres était un individu mort. MORT. Magnifique mot. M-O-R-T. Mais la mort, impossible d'y penser dans ce petit bout de Paradis. C'est cela qui était bien avec la vallée des fleurs perdues : toutes pensées sanguinaires étaient effacées. Plus d'explosions dans ma tête, plus de guerres sordides mais au combien distrayantes.

Une brise de vent matinale m'apporta l'odeur lourde des fleurs, et j'évitais d'écraser un crocus tout en observant la petite forme recroquevillée. Malheureusement, l'air refusait de me donner son odeur, sans quoi j'aurais pu identifier jusqu'à ses origines, si elle était née à Fantasy Horse.

Je me rapprochais toujours, doucement, levant les pieds, effleurant à peine le sol, comme si je flottais dans les airs. Comme toujours ici, le temps était au beau fixe. Le soleil éclairait tout sur son passage, illuminant la rosée des fleurs comme des larmes. Mon sabot s'arrêta à quelque centimètre d'une pouliche alezane, et je fronçais les sourcils, avant de mettre un nom sur son adorable bouille : Canelle, la petit orpheline recueillie il y'a peu. Sa mère, stupide, c'était faite égorgée par des loups. Sa fille avait fait preuve de plus d'intelligence, et son don ce révélerait sûrement intéressant. Il valait mieux donc être gentil avec cette pauvre enfant, abandonnée de tous...Je baissais l'encolure, effleurant au passage quelques fleurs, et la dévisageais, remarquant au passage quelques traces humides sur ses ganaches.

-- Canelle ?

Mon ton doux et paternel résonna dans mes oreilles, et je pris un masque rassurant.

[Avec plaisir =) J’ai remarquer sa qu’il y avait peu de monde ici… Je pensais pas que quelqu’un aller justement me répondre. C’est une belle surprise qui s’offre a moi. Ne t’inquiète pas, il y a pas de sens particulier pour Chapitre 1… J’avais envie de le mettre comme sa x)]

U

n doux vent me caresser mon pelage, mais aussi m’apporta en même temps de bonne odeur de fleur.Quel magnifique réveille qui m’étais offert aujourd’hui, par ses odeurs, et se paysage extraordinaire.A présent je ne voyais plus flou et j’apprécier a se moment la de regarder mon environnement.Le soleil qui se lève en douceur, les fleurs et l’herbe qui danse par le vent,… Ma silhouette que j’avais repérer au loin était un étalon bien musclé, d’un noire si sombre, du nom de One.Il s’était approcher de moi tout en douceur, en m’appèlent par mon nom c’est a ce moment que je reconnu sa voix puis sa belle silhouette… Un doux sourire se dessina sur mes lèvres, mon regard plongea dans le sien.

　
«　Oui, c’est bien moi One.　»

M

on ton de voix était si doux, que mes mots était transporter par le vent. Mon petit museau s’approcha du sien, son odeur était bien celle de One. Je ne m’étais pas tromper par sa voix et sa carrure.A ce moment la je me releva du sol pour me dégourdir les membres qui dormaient encore.Mais c’étais tout de même difficile de se lever de bon matin…Je fis quelque pas vers lui pour lui donner une petite léchouille sur sa joue pour lui dire bonjour. Après l’avoir fais cette petite léchouille, je remarquais qu’il n’avait pas trop dormis cette nuit, car il avait un peu de cerne sous ces yeux.

　«　Tu n’as pas dormis cette nuit　? Pourtant il avait un silence de mort ici.Par contre moi j’ai super bien dormir sur ces fleurs.　»

M

es petits corps était mouiller par l’humidité de la nuit qui était tomber.Mon regard s’en alla vers l’horizon, j’admira avec splendeur le paysage…

[Tant mieux, alors ^^.]

Le vent chaud ondulait lentement, emmêlant mes poils. J'eu un rictus involontaire en recontrant le regard brun de Canelle, et elle confirma mon idée. Il aurait été étonnant que ce soit quelqu'un d'autre. Mes yeux pétillèrent lorsqu'elle parla, et je savourais sa voix douce et soyeuse, un vrai régal pour mes oreilles rompues aux explosions, bruits magnifiques mais agressifs. La pouliche alezane se releva finalement, et je l'observais faire quelque pas, l'encolure toujours baissée pour rester à sa hauteur. Il était relaxant d'être avec cette enfant. Je fermais paresseusement les yeux, pendant quelques minutes, respirant le parfum des fleurs diverses quasiment sous mon nez. J'eu cependant un geignement surpris lorsque je sentis la petite langue de Canelle sur ma joue. Je n'étais pas habitué à ces marques si évidentes d'affection ou de sympathie, même avec elle. Pour éviter d'autre contact, je relevais la tête et portais mon regard ailleurs.

Le soleil m'illumina le visage et je clignais des yeux, ébloui, avant de secouer la tête de droit à gauche, des lumières pleins les yeux. C'était une trop magnifique journée. Trop de soelil, trop de bonheur pour moi. Cet endroit ne m'étais décidément pas approprié. Il aurait mieux convenu à l'un de mes adorables frangins. Un soupir découragé franchit mes lèvres et je prêtais oreille à Canelle, qui me posa une question. Encore étrange. Pourquoi me demander si j'avais dormi ? Perplexe, je laissais errer mon regard ailleurs, avant de répondre.

-- Cela m'arrive plutôt souvent, grommelai je.

La pouliche alezane semblait humide de rosée, et j'admirais son teint frais, sa beauté naturelle et ses yeux vivants. Détaillant sans gêne le petit corps face à moi, je m'arrêtais brutalement au beau milieu de l'encolure, ou s'épanouissait une petit tache rouge. Automatiquement, je ressentis l'envie de lécher le sang. Je faisais cela à chaque fois que j'en avais l'occasion. Aussi, je tendais le cou, mais m'arrêtais à deux centimètres de la peau.
Bon sang, je veux faire peur à la gosse, ou quoi ?
A regrets, je retournais loin de son encolure, et me contentais d'effleurer rapidement le sang des naseaux, respirant le délicat parfum.

-- As tu une idée de la façon dont tu t'es fais ça ?

» Petite Fée...
» Petite galopade.