Haiden. /0K/

Je porte le simple nom qu'est Haiden.

Je ne conte pas les mois et les année, mais je dois avoir environs 3 ans.

Je ne serais vous dires. Un mélange de frison et d'un cheval léger.

Un beau alezan avec les crins blancs. Alezan crins lavés.

Je ne sopporterais pas d'être sous les ordres de quelqu'un, alors je pense que je peux dires que je suis solitaire.

Avec mon corps, j'ai remarqué que j'arriver à créer de petite décharge électrique. Mais je n'y arrive que sous une violente émotion, tel la colère. Mon don est encors en apprentisage.

Haiden est né comme tous poulains. Ses jeux d’enfants, ils les partageaient avec ses petits camarades. Cette partit de sa vie n’est pas intéressante et ne nous apprend rien du pourquoi il est comme il est aujourd’hui. Alors si cela ne vous dérange pas, sautons son enfant pour nous projeter deux ans plus tard.

Le temps avais balayais ses jeux d’enfant. Son corps était devenu fort et imposant. Pourtant, la partit la plus grande de son âme était son cœur. Oui, son cœur comblé d’un amour pur et réciproque. La jument qui avait gagné l’amour d’Haiden était comme toutes les autres, pourtant, elle était le plus beau bijou que le monde puis porter aux yeux de l’étalon à la robe dépareillé.

Un jour. La jument fait la bêtise de tromper son amour. L’étalon entra dans une colère noire. Il insulta de tout les noms la malheureuse qui se contenté de baisser la tête sous le poids des injures. Puis, une chose étrange se produit. Une sorte d’électricité s’élevait du corps du mâle. L’air devenait chaud et les langues électriques s’approchaient dangereusement de la jument. L’étalon commençait à se calmer, de même que les décharges. Il ne comprenait pas pourquoi elle lui avait ça. Soudain, la voix brisa le lourd silence. Elle s’approcha de Haiden, et lui murmurais des paroles, anxieuse. Puis, elle lui dit « mon amour ». L’étalon retomba dans sa colère, et les langues électriques réapparues. Ses dernières frappèrent de plein fouet la jument, et elle s’écroula dans l’herbe. Dans les yeux du mâle, la colère laissa la place à une profonde tristesse. Ses genons flanchèrent, et il s’écroula au sol. Il n’avais maintenant que ses yeux pour pleurer et sa bouche pour crier sa souffrance et son chagrin.

Il resta longtemps, coucher de tout son long contre le corps sans vie de celle qu’il à aimé. Puis, il décida qu’il l’avait assai veillé et que son âme avait rejoint le ciel. Ses membres encore endolories durent creuser dans une terre aride. Une fois cette tâche faite, il y déposa délicatement le corps de sa dulcinée. Il recouvrit le lieu de culte et sans dit, il partit, le visage n’exprime nul chagrin, mais ses yeux étaient vides de vie. Tous être criait vengeance. Il voulait que cet étalon qui lui avait causé tant de misère meure à son tour. Sauf que lui, il n’aurait pas la chance d’avoir une mort rapide et douce.

Les jours passèrent, et Haiden s’était trouvé un compagnon de route. C’était un étalon à la robe ébène. Il était sympathique et n’exprimer pas le danger. Le jeune étalon alezan l’apprécier, et une amitié solide unissait les deux équidés. Mais ce ne fut sans compter une révélation plus que dévastatrice…

Un soir, les deux ami se racontait leur passé. Le noiraud se lança le premier.

« Avant de venir ici, commença-t-il, je venait d’une terre un peu plus loin. Je n’avais personne, sauf une douce jument. Sa robe était aussi pure que le cristal et ses iris d’une belle teinte noisette. Notre relation dura plusieurs semaines, jusqu’au jour ou nous avions étaient trop loin. Elle se sentit obligé de m’annoncer de m’annoncer quelle avait un étalon. Ce dernier était alezan. Et puis, après cet épisode, plus de nouvelle. »

Haiden qui était allongé au sol, s’était figé. Il n’avait rien perdu des paroles de l’étalon, et l’amitié qu’il avait noué venait d’être détruite avec de simple mot. Lentement, le mâle alezan se leva. Ses crins caché ses yeux humide. Son sourire avait disparut, laissant apparaitre un rictus de haine. Doucement, il avançait vers son rivale. Les langues électriques apparurent, encerclant le corps de l’étalon noir. Ce dernier recevait de haut dégage de plusieurs volt. Il lueur sadique apparue dans les yeux rebelle de Haiden. Enfin, sa douce était vengée !

Après cette nuit mortifère, l’étalon alezan s’en alla, laissant de l’équidé sans vie au sol. Un sourie mauvais écarté ses lèvres roses. Aujourd’hui enfin, il était heureux.

Aquarelle.

Pub in Horse-Wild. (Je suis Eulalie.)

Pas mal.